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Dernière mise à jour : 22 févr. 2020



Premier jour du carême, le Mercredi des Cendres est marqué par l’imposition des cendres : le prêtre dépose alors sur le front (ou dans les mains) de chaque fidèle un peu de cendre, en signe de la fragilité de l’humain, mais aussi en signe d’espérance dans la miséricorde de Dieu.


« On trouve déjà le symbolisme des cendres dans l’Ancien Testament. (Jud 4, 11; Est 4, 1) Il évoque globalement la représentation du péché et la fragilité de l’être humain. Dans l’Ancien Testament, on peut lire que quand l’homme se recouvre de cendres, c’est qu’il veut montrer à Dieu qu’il reconnaît ses fautes. Par voie de conséquence, il demande à Dieu le pardon de ses péchés : il fait pénitence.


Tous, nous faisons l’expérience du péché. Comment s’en dégager? Jésus nous apprend que nous serons victorieux quand nous aurons appris par l’Évangile à remplacer le feu du mal par le feu de l’Amour. Car le feu qui brûle ce jour détruit d’abord mais, en même temps, ce feu éclaire, réchauffe, réconforte, guide et encourage. »


Appliquée sur le front (ou la main), la cendre nous appelle plus clairement encore à la conversion, nous invitant à emprunter le chemin de l’humilité. Tout en nous marquant, le prêtre nous invite à nous convertir. L’évangile de ce jour, passage de saint Matthieu, (6, 1-6.18-18) incite les fidèles à prier et à agir, non pas de manière orgueilleuse mais dans le secret de notre cœur. « Ton Père qui voit au plus secret te le rendra ».

Dernière mise à jour : 18 févr. 2020

Dans une lettre qu’il vient de faire parvenir aux paroisses, prêtres et présidents d’assemblée de fabrique, Mgr Pierre Goudreault précise ses directives quant à la célébration de funérailles chrétiennes dans un lieu autre que l’église paroissiale.


Dans ce document, Mgr Goudreault commence par rappeler que certaines de nos églises ont été transformées en vue d’un usage multiple mais conservent des espaces pour y célébrer les offices religieux. Dans d’autres paroisses, l’église est fermée, vendue ou ne dispose plus d’un espace suffisant pour accueillir une grande assemblée comme c’est souvent le cas lors de funérailles chrétiennes. Dans une telle situation, les responsables de la communauté sont d’abord invités à offrir aux familles endeuillées la possibilité de célébrer les funérailles de leurs disparus dans une église voisine. L’église, précise Mgr Goudreault, demeure le lieu le mieux adapté pour ce type de célébration en raison notamment de son accès facile pour un cortège funèbre, son mobilier liturgique et son espace adapté pour la chorale et l’organiste.


Toutefois, si dans une paroisse le lieu habituel pour la tenue des célébrations dominicales est trop petit ou mal adapté, on pourra choisir une salle convenable dans la municipalité pour y célébrer des funérailles chrétiennes. On prendra soin de s’assurer que l’accès du lieu sera facile pour l’entreprise funéraire. De plus, ajoute Mgr Goudreault, « la difficulté pour une famille endeuillée de payer les frais de chauffage d’une église habituellement fermée l’hiver ne doit pas être une raison pour l’orienter vers une salle. Il importe de manifester de l’hospitalité et de la compréhension envers des personnes dans des situation financières précaires et alors, d’offrir l’utilisation gratuite de l’église. »


Les personnes que cette question intéresse peuvent lire l’intégralité du document de Mgr Goudreault sur le site internet du diocèse : www.diocese-ste-anne.net sous l’onglet S’informer- Chancellerie- Documents officiels.


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